Auteur/autrice : Michel Stoupak

  • Vallée du Garbet

    De 25,1 km de longueur, le Garbet prend sa source dans les Pyrénées, dans l’étang du Garbet, sur le flanc nord de la Pique Rouge de Bassiès (2 676 mètres), non loin de la frontière espagnole. De manière générale, son cours est orienté du sud-est vers le nord-ouest. Après un parcours de 25 kilomètres, il se jette dans le Salat en rive droite à Oust, bourg ariégeois situé à 16 kilomètres en amont de Saint-Girons.
    En Ariège, le Garbet parcourt Aulus-les-Bains, Ercé, Oust et Soueix-Rogalle.

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  • Lac de Montbel

    Le lac de Montbel est un lac artificiel mis en eau en 1985, à la suite de la construction du barrage de Montbel. Il est situé à cheval sur les départements de l’Ariège et de l’Aude.
    Le lac est principalement situé sur les territoires des communes de Montbel et Léran, dans l’est du département de l’Ariège, et s’étend également sur celui de la commune de Chalabre, dans le département de l’Aude. Le barrage est situé sur le territoire communal de Montbel, sur le cours de la Trière3, un petit affluent de l’Hers-Vif.
    La réflexion sur la construction du barrage a débuté dès les années 1970, mais c’est en 1982, après une sécheresse et de longues études d’impact sur le milieu, que débutent les travaux qui se terminent en 1984. Il est élevé en terre sur une longueur de 270 m avec un tracé rectiligne4. Ce barrage a coûté environ 22 millions de francs, soit 3,4 millions d’euros, et est géré par l’IIABM (Institution Interdépartementale de l’Aménagement du Barrage de Montbel) qui regroupe les trois départements fondateurs : l’Ariège, l’Aude et la Haute-Garonne.

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  • Les remparts de Provins

    Les remparts de Provins sont édifiés entre le XIe siècle et le XIIIe siècle, principalement sous Thibaut IV. Les deux portes actuellement restantes, la porte de Jouy et la porte Saint-Jean, sont édifiées au XIVe siècle. L’enceinte est modifiée jusqu’au XVIe siècle, puis cesse d’être entretenue. Elle est détruite en plusieurs endroits, particulièrement dans la ville basse : les allées d’Aligre correspondent en partie à leur emplacement.
    Les parties subsistantes des remparts sont essentiellement situées dans la ville haute, et mesurent 1 200 m de long au total. La partie des remparts située entre le trou au Chat et la tour aux Pourceaux est classée au titre des monuments historiques en 18751. La portion entre la tour aux Pourceaux et la tour du Bourreau, ainsi que la courtine reliant la tour César à la tour aux Anglais, le sont en 1942. Les murs du Bourg Neuf et des Brébans le sont en 1992.
    En 1983, une partie des remparts s’effondre faute d’entretien au niveau du lieu-dit du « cours aux bêtes ». Les travaux de restauration et de réhabilitation commencent en 1989 et s’achèvent en 2022.

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  • Le Lauragais durant les moissons

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    Même vidéo que ci-dessus, postée sur YouTube, le 27 oct. 2024, par Michel Stoupak, 41 abonnés. Lauragais durant les moissons (Aude).

    Le Lauragais est une région historique et culturelle du Sud-Ouest de la France. Il occupe une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est, et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest.
    Connue dans les sources depuis les alentours de l’an Mil et tour à tour archidiaconé, diocèse, comté, puis sénéchaussée, le Lauragais est divisé lors de la Révolution française entre quatre départements : la Haute-Garonne, l’Aude, l’Ariège et le Tarn.
    Culturellement, le Lauragais, zone rurale, est associé à la richesse de sa production agricole. En témoignent ses surnoms de « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc », qui renvoie à la spécialisation et à l’exportation céréalière depuis le XVIIe siècle, grâce au canal du Midi. Mais cette région est aussi connue par son histoire, notamment religieuse (catharisme, protestantisme) ainsi que par son riche patrimoine : canal du Midi et ses sources, abbayes et églises, châteaux, stèles discoïdales, pigeonniers, moulins à vent, bastides, etc. Le poète Auguste Fourès et le peintre Paul Sibra ont immortalisé le Lauragais dans leurs œuvres respectives.
    Aujourd’hui, le Lauragais « historique » ne doit pas être confondu avec le Pays Lauragais, entité administrative contemporaine recouvrant partiellement le territoire du même nom et dédiée à son développement.

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  • Emmanuel Macron reçoit les différents partis politiques hormis LFI et le RN

    © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 10 décembre 2024, à 17 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/5, ISO 12800. Flash: non

    First secretary of the French Socialist Party (PS) Olivier Faure, President of Socialistes et Apparentes parliamentary group Boris Vallaud (L) and President of the Socialist group in the Senate Patrick Kanner (R) arrive to speaks with journalists as they leave the Elysee palace following a meeting with the French president, in Paris, on December 10, 2024. French party leaders will gather at President’s Elysee Palace office on December 10, 2024 in a bid to chart a route towards a new government, days after Prime Minister Michel Barnier was toppled in a confidence vote.

    Après avoir consulté séparément les diffé­rentes forces politiques, le président de la République a décidé de convier autour de la même table, le mardi 10 décembre 2024 après-midi, l’ensemble des chefs de parti et de groupe parlementaire.
    Les ténors des formations politiques repré­sentées au Parlement étaient invités, pour la première fois, tous ensemble à l’Elysée. Une configuration rappelant les rencontres de Saint-Denis, lancées par Emmanuel Ma­cron en 2023. A ceci près que « l’extrême droite et l’extrême gauche » qui, selon le chef de l’Etat, « se sont unies dans un front antirépublicain » en votant la censure le 4 décembre, ne sont, cette fois, pas conviées. Leurs représentants « ne se sont pas inscrits dans une logique de compro­mis », a justifié un proche du président de la République.

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  • Notre-Dame de Paris : plusieurs milliers de personnes ont suivi la cérémonie depuis les quais

    1/6. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 7 décembre 2024, à 16 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/8, ISO 10000. Flash: non

    1/6. The French population and many foreigners gather inside a security perimeter around the Notre-Dame de Paris cathedral, ahead of its official reopening ceremony after more than five-years of reconstruction work following the April 2019 fire, in Paris on December 7, 2024. Notre-Dame Cathedral is set to re-open early December 2024, with a weekend of ceremonies on December 7 and 8, 2024, five years after the 2019 fire which ravaged the world heritage landmark and toppled its spire. Some 250 companies and hundreds of experts were mobilised for the five-year restoration costing hundreds of millions of euros.

    Comme lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, en juillet dernier, les organisateurs ont dû composer avec des conditions météo catastrophiques en ce 7 décembre 2024. La pluie et les bourrasques froides ont entraîné l’annulation de tous les évènements qui devaient se tenir à l’extérieur, y compris le concert, qui a dû être enregistré la veille.
    Qu’à cela ne tienne, des milliers de spectateurs, en grande majorité des Parisiens, se sont massés sur les quais de la Seine pour admirer la cérémonie sur cinq écrans géants, à l’endroit même où nombre d’entre eux avaient vu la cathédrale brûler en 2019.
    En raison des vents violents, l’intégralité de la cérémonie s’est finalement déroulée à l’intérieur de Notre-Dame de Paris. Décision prise la veille et annoncée par l’Élysée et le diocèse de Paris. Plusieurs étapes des célébrations étaient prévues sur le parvis de l’édifice, dont le discours d’Emmanuel Macron, le film retraçant la reconstruction de la cathédrale ou encore un grand concert.

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  • Les taxis en grève devant l’Assemblée nationale

    1/6. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 3 décembre 2024, à 14 h 00. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF135mm f/2L USM ; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/400e de s, ƒ/3.20, ISO 100. Flash: non

    1/6. Taxi drivers gather at the Invalides during a protest against lower mileage rates for medical patient transport, in Paris on December 3, 2024.

    Environ 500 taxis ont manifesté mardi 3 décembre 2024 près de l’Assemblée nationale, pour protester contre une tarification à la baisse du transport de malades.
    Afin de réaliser 300 millions d’euros d’économies sur ces transports sanitaires, le gouvernement Barnier, menacé de censure, souhaite contraindre taxis et transporteurs sanitaires à négocier des mesures avec l’Assurance maladie, sous peine de baisses tarifaires imposées.
    Entre pétards et feux d’artifice, les taxis, qui demandaient à être reçus par les parlementaires ou le ministère de la Santé, protestaient sur l’esplanade des Invalides contre cette négociation avec l’Assurance maladie mais aussi contre des plateformes en ligne comme Uber Health qui pourraient arriver dans le secteur, « cassant le taximètre pour déstructurer notre modèle économique et social »

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  • Rassemblements de retraités pour une revalorisation des pensions

    1/5. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 3 décembre 2024, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/8, ISO 800. Flash: non

    1/5. Retirees take part in a rally to call for pensions to be raised with inflation in Paris, near the Prime Minister’s office on December 3, 2024.

    Une intersyndicale de retraités a organisé mardi 3 décembre 2024 des rassemblements dans toute la France pour demander une revalorisation des retraites au 1er janvier du montant de l’inflation, sans recourir au dispositif partiel et en deux temps proposé par le gouvernement Barnier dans son budget de la Sécu 2025, désormais en sursis.
    À Paris, de 200 à 300 retraités se sont retrouvés à deux pas de Matignon, où une délégation de manifestants a été reçue pendant une heure par le cabinet du Premier ministre, a constaté un journaliste de l’AFP.
    Dans la dernière version du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, approuvée en commission mixte paritaire, les retraites ne seraient pas augmentées en une seule fois au 1er janvier du montant de l’inflation l’an dernier – 1,6% selon le gouvernement – comme c’est en principe le cas chaque année.
    Elles seraient augmentées de 0,8% le 1er janvier, puis à nouveau, mais seulement pour les retraites inférieures à 1.500 euros, de 0,8% le 1er juillet.
    Le gouvernement justifie le décalage de la revalorisation des retraites par la nécessité de financer la Sécurité sociale, mais les retraités « ne sont pas responsables des choix politiques et budgétaires » ayant mené aux déficits actuels, a dénoncé Cathy Cau, secrétaire générale de l’Union confédérale des retraités CGT.

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  • Marina Ferrari visite les grands magasins du Boulevard Haussmann

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 28 novembre 2024, à 10 h 56. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/6.30, ISO 5000. Flash: non

    1/8. French Delegate Minister of Tourism Economy Marina Ferrari (C) visits the Galeries Lafayette Paris Haussmann department store, as it celebrates it’s 130th Christmas, in central Paris, on November 28, 2024.

    Marina Ferrari, la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargée de l’Économie du tourisme, a rendu viste aux deux grands magasins des Galeries Lafayette et du Printemps, boulevard Haussmann, à Paris, le 28 novembre 2024. Elle a été accom­pagnée durant sa visite par Philippe Houzé, Président du Directoire du groupe Galeries Lafayette, groupe qui fêtait son 130e anni­versiare en 2024.
    Selon les informations données quelques jours auparavant par Nicolas Houzé, le « navire amiral » des grands magasins, a connu une croissance de « 3 % » en 2023, pour un chiffre d’affaires de « 1,9 milliard d’euros ». Cela représente plus de la moi­tié du chiffre d’affaires total du groupe, es­timé à « 3,65 milliards d’euros ».
    La croissance observée en 2023 tranche avec les résultats des années précédentes. Directement affecté par le mouvement des Gilets Jaunes, en 2018 et en 2019, puis frappé par la pandémie du Covid-19, en 2020 et 2021, le magasin parisien accueil­lait moins de touristes. C’était notamment le cas des visiteurs chinois, qui représen­taient « un tiers des clients », avant la cri­se sanitaire, explique le PDG des Galeries Lafayette. « La clientèle asiatique est reve­nue », a-t-il assuré à l’hebdomadaire.
    Pour attirer les consommateurs, d’impor­tants travaux ont été entrepris. La coupole « Art Déco », conçue en 1912, a été réno­vée.
    Il s’agit d’un des investissements majeurs du groupe, qui a injecté 100 millions d’eu­ros pour l’espace parisien, soit un quart des « 400 millions d’euros en cinq ans », a expliqué Nicolas Houzé. Source

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  • Des manifestants de la FNSEA érigent un mur devant l’Inrae

    1/3. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 28 novembre 2024, à 8 h 24. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/4, ISO 3200. Flash: non

    1/3. French farmers construct a symbolic wall in front of the French National Institute for Agricultural Research (INRAE) head office to represent the obstacles hindering agricultural production during a protest against government regulations, administrative burdens and the possible Mercosur agreement in Paris, France on November 28, 2024.

    Plus d’une centaine d’agriculteurs franci­liens se sont réunis jeudi 28 novembre 2024 à l’aube devant le siège de l’Inrae, l’Institut national de la recherche pour l’a­griculture, l’alimentation et l’environne­ment, dans le 7e arrondissement de Paris, dans une action symbolique à l’appel des Jeunes Agriculteurs et de la FDSEA. Ils ont construit un mur de parpaing d’environ deux mètres de haut pour dénoncer l’inuti­lité de cet institut et demandent sa ferme­ture. « Aujourd’hui, l’Inrae c’est un budget d’un milliard d’euros par an, c’est censé être un partenaire du monde agricole, mais ça fait 50 ans qu’il n’en sort rien du tout », dénoncait Victor Rabier, secrétaire général des Jeunes agriculteurs en Île-de-France et agriculteur à Pussay, dans l’Essonne. « On n’en a pas besoin », a-t-il estimé.
    Dans une déclaration à l’AFP, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a condamné, « avec la plus grande fermeté toute attein­te aux personnes et aux biens » après cette mobilisation. Source

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