Auteur/autrice : Michel Stoupak

  • Des milliers de manifestants défilent dans Paris contre les violences faites aux femmes

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 23 novembre 2024, à 15 h 31. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF135mm f/2L USM ; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/500e de s, ƒ/4, ISO 500. Flash: non

    À deux jours de la journée nationale contre les violences faites aux femmes, les asso­ciations féministes ont organisé, ce samedi 23 novembre 2024, une série de manifes­tations. À Paris, le cortège s’est élancé de la Gare du Nord pour se diriger vers la pla­ce de la Bastille. Dans la capitale, la pré­fecture de police a compté 12.500 par­ti­ci­pants, là où la CGT en a comptabilisé 80.000. Pour faire reculer les violences et les inégalités, une soixantaine d’associa­tions et de syndicats ont proposé, jeudi 21 novembre, un projet de loi-cadre.
    Un ensemble de mesures chiffré à 2,6 mil­liards d’euros. « Soit bien plus que les 85 millions proposés dans le budget 2025 », se désole Célia Lévy, membre du collectif #NousToutes à Paris. Source.

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  • Michel Barnier tente d’apaiser la colère des maires

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 21 novembre 2024, à 16 h 08. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/500e de s, ƒ/4, ISO 2500. Flash: non

    1/8. French Prime Minister Michel Barnier delivers a speech during the 106th Mayors Congress (Congres des Maires) organised by the « France’s Mayors’ Association » (AMF) in Paris, on November 21, 2024.

    Le premier ministre s’est livré à un exerci­ce d’équilibriste, jeudi 21 novembre 2024, devant le congrès de l’Association des mai­res de France (AMF). Venu clore son 106e congrès, qui s’est tenu du 19 au 21 novembre à Paris, Michel Barnier a adressé un message de confiance aux élus locaux, tout en tâchant de conju­rer la précarité de sa position politique. En effet, alors que le Nouveau Front populaire comme le Ras­semblement national se montrent de plus en plus menaçants en évoquant la pers­pective d’une censure, le chef du gouver­nement a reconnu d’emblée : « Je ne sais pas le temps que j’ai devant moi. Ça dé­pend d’une éventuelle coalition des con­traires, si je puis dire, à l’Assemblée na­tionale. Je ne sais pas si cela se produira. J’y suis prêt. » Même si, a estimé M. Bar­nier, « je sais que ce n’est pas ce que souhaitent les Français, qui souhaitent au­jourd’hui de la stabilité, de la sérénité ».
    Le chef du gouvernement « marche sur des œufs », a fait remarquer le président de l’AMF et maire (Les Républicains, LR), David Lisnard, à l’issue du discours.
    De fait, alors même qu’il était attendu de pied ferme par des élus très en colère con­tre le prélèvement sur leurs recettes de 5 milliards d’euros que M. Barnier prévoit en 2025, celui-ci n’a évoqué la question qu’avec une grande prudence. Source.

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  • Des ministres interviennent au 106e Congrès des Maires de France

    1/11. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mercredi 20 novembre 2024, à 10 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 115 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/1600e de s, ƒ/4, ISO 8000. Flash: non

    1/11. French Delegate Minister for Rural Affairs, Trade and Crafts Francoise Gatel (L) participates in the 106th session of the Congress of Mayors organised by the « France’s Mayors’ Association » (AMF) at the Parc des Expositions de la Porte de Versailles in Paris, on November 20, 2024.

    De nombreux ministres se sont déplacés pour intervenir durant les débats organisés lors du 106e Congrès des maires et des présidents d’intercommunalité de France, organisé par l’Association des Maires de France au  Parc des Expositions de la Porte de Versailles, à Paris, du 19 au 21 no­vembre 2024.
    Dans un contexte de protestations contre les économies prévues par le gouverne­ment pour les collectivités territoriales é­taient notamment présents Valérie Létard, Ministre du Logement et de la Rénovation urbaine, Othman Nasrou, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les dis­criminations, Anne Genetet, ministre de l’Éducation nationale, Françoise Gatel, mi­nistre déléguée auprès de la ministre du Partenariat avec les territoires et de la Dé­centralisation, chargée de la Ruralité, du Com­merce et de l’Artisanat, Geneviève Darrieussecq, Ministre de la Santé et de l’Accès aux soins.

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  • Un convoi d’agriculteurs en colère ralentit la N118 près de la base de Villacoublay

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Dimanche 17 novembre 2024, à 18 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 38 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/125e de s, ƒ/2.80, ISO 2500. Flash: non

    1/8. French farmers drive their tractors on the RN118 road at the start of a nationwide protest against EU-Mercosur agreement with farmers feeling they have yet to reap the rewards of last winter’s mobilisation near Velizy-Villacoublay, southwestern Paris on November 17, 2024. Farmers complain about excessive bureaucracy and low in­comes, but they’re also fed up with poor harvests, losses from emerging animal di­seases and the prospect of signing a free-trade agreement with the Latin American countries of Mercosur (Brazil, Argentina, Paraguay and Uruguay) that would create the world’s largest free trade zone.

    Macron, si tu vas à Rio, n’oublie pas tes péquenots : à bord d’une vingtaine de tracteurs et d’une trentaine d’autres véhi­cules, les manifestants ont bloqué deux des trois voies de circulation sur la natio­nale 118, qui longe la base militaire des Yvelines le dimanche 17 novembre 2024 en soirée. C’est de là que le président Emmanuel Macron s’est envolé samedi pour l’Argentine, avant de se rendre au sommet du G20 prévu lundi et mardi au Brésil.
    La mobilisation générale des agriculteurs français doit commencer ce lundi, mais des actions ont déjà eu lieu dimanche soir, no­tamment dans les Yvelines et en Mayenne. Les agriculteurs protestent contre la pers­pective d’un accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, le mar­ché unique sud-américain. Ils redoutent d’être exposés à la concurrence de pro­duits agricoles importés moins chers et qui ne sont pas soumis aux mêmes normes que les produits nationaux.

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  • « Vulcain », le plus grand dinosaure jamais présenté aux enchères

    1/16. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 16 novembre 2024, à 14 h 11. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/125e de s, ƒ/8, ISO 320. Flash: non

    1/16. The largest dinosaur skeleton ever auctioned in France, measuring 22 meters long, was sold on Saturday 2024 november, 16 in the Paris region, for more than six mil­lion euros. The anonymous buyer is a collector who said he wanted to entrust the skeleton of an apatosaurus, a giant herbivore, to a museum, indicate the Collin du Bocage and Barbarossa houses. This auction is one of the highest made for a dino­saur skeleton in France, said Olivier Collin du Bocage. Made up of 75 to 80% of the original bones, the imposing specimen is the largest dinosaur ever put up for auction in France. The skeleton of the herbivorous giant, which weighed around twenty ton­nes during its lifetime and probably reached the age of 45, spent the summer in the orangery of the castle of Dampierre-en-Yvelines, around fifty kilometers to the southwest of Paris, where the sale took place.

    Il s’appelle Vulcain et mesure plus de 4 mètres de haut.
    L’impressionnant squelette de ce dinosaure vieux de 150 millions d’années a été vendu aux enchères ce samedi 16 novembre 2024 au château de Dampierre-en-Yveli­nes, en Île-de-France. Cet Apatosaure de­vient ainsi le plus grand dinosaure jamais vendu au monde.
    Le géant herbivore a finalement été vendu à 4,7 millions d’euros, comme l’ont annon­cé les maisons de vente Collin du Bocage et Barbarossa, confirmant rapidement au­près de l’Agence France presse, tout en précisant que la transaction se monte à 6 millions d’euros en incluant les frais.
    On ne connaît pas le nom de l’heureux propriétaire, mais il s’agirait « d’un fran­çais âgé d’une quarantaine d’années », qui s’est engagé à laisser un accès aux palé­ontologues pour l’étudier, comme le prévoit le contrat de vente. Selon Actu78, il a l’in­tention d’en faire don. Plusieurs musées avaient en effet manifesté leur intérêt pour exposer ce magnifique spécimen découvert aux États-Unis en 2018, mais Vulcain s’est avéré bien trop onéreux pour leurs bud­gets. L’acheteur doit désormais choisir en­tre le Paléospace de Villers-sur-Mer, l’Insti­tut royal des sciences naturelles de Bru­xelles et bien d’autres candidats pour faire don de cet impressionnant vestige du Ju­rassique. Il se pourrait bien que le géant reste en France : il était exposé au grand public au château de Dampierre depuis le 13 juillet dernier.
    Avant cela, il a fallu trois ans de fouilles aux États-Unis, menées par une équipe européenne. Les quelque 306 os fossilisés retrouvés dans le sol ont ensuite été ap­portés dans le sud de la France pour que l’ensemble soit restauré. Un travail titanes­que : le spécimen mesure 20,50 m de long et 80 % de ses os sont d’origine. Reste à trouver un lieu où il ne se sentira pas à l’étroit. Source.

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  • Notre-Dame : des milliers de Parisiens ont raccompagné la « Vierge du Pilier »

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Vendredi 15 novembre 2024, à 17 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/160e de s, ƒ/4, ISO 1600. Flash: non

    Après cinq ans d’exil, la statue de la Vierge à l’enfant a retrouvé sa place dans le chœur de Notre-Dame de Paris ce vendredi 15 novembre 2024. Une procession qui a rassemblé des milliers de fidèles dans les rues de la capitale, marquant une étape clé avant la réouverture triomphale de la cathédrale les 7 et 8 décembre.
    Retrouvée intacte après l’incendie, la Vier­ge à l’Enfant, souvent aussi appelée “Vier­ge du pilier”, avait été déplacée à l’église Saint-Germain l’Auxerrois qui a pendant cinq ans accueilli la liturgie de la cathé­drale. Rendez-vous était donné aux fidèles et aux Parisiens à 18 heures sur le parvis de cette église située près du Louvre, dans le centre de Paris. La procession aux flam­beaux s’est rendue jusqu’à la cathédrale Notre-Dame en empruntant les quais de l’île de la Cité. À 19 heures, la statue était bénie par l’ar­chevêque de Paris avant une veillée de louanges et de prières qui mêlait Magnifi­cat, temps de prière et lecture de l’Évangi­le. Cette procession marque le « dernier grand événement avant la réou­verture de la cathédrale les 7 et 8 dé­cembre pro­chains », a souligné le diocèse. Avec ce re­tour, la célèbre statue retrouvera sa place près du pilier devant lequel l’écrivain Paul Claudel s’est converti, le jour de Noël 1886.
    La sculpture représente Marie tenant l’en­fant Jésus. Celle utilisée sur le trajet était toutefois une réplique : « il n’est pas possi­ble – pour préserver l’œuvre, par ailleurs fragilisée par les siècles – de faire la pro­cession avec cette statue, mais nous assis­terons à son départ en camion, pour nous élancer ensuite vers le parvis de Notre-Dame », a expliqué Stéphane-Paul Bentz, chapelain de Notre-Dame.
    « Sur le parvis, nous serons accueillis par la maîtrise Notre-Dame et par la statue o­riginale, que nous pourrons apercevoir car les portes du camion et de sa caisse auront été préalablement ouvertes », puis le ca­mion franchira les palissades du parvis, a-t-il ajouté.
    En amont de cette cérémonie a été organi­sée une « neuvaine » depuis le 7 novem­bre, la réplique de la statue circulant dans plusieurs paroisses, sanctuaires et hôpi­taux de la capitale.
    Cette sculpture qui date du milieu du XIVe siècle provient de la chapelle Saint-Aignan, située dans l’ancien cloître des chanoines, sur l’île de la Cité. En 1818, elle a été transférée à Notre-Dame, et en 1855 c’est l’architecte Eugène Viollet-le-Duc qui a décidé de la déplacer pour l’adosser au pilier sud-est du transept de la cathédrale. Source.

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  • France-Israël : un bref incident a eu lieu dans les tribunes du Stade de France

    1/7. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 14 novembre 2024, à 19 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/160e de s, ƒ/4, ISO 8000. Flash: non

    Le match de football France-Israël a été marqué, jeudi 14 novembre 2024 au Stade de France à Saint-Denis, par des brefs incidents en tribunes.
    Un mouvement de foule a été remarqué à l’endroit où étaient rassemblés les sup­porters israéliens, et les stadiers sont in­tervenus pour les empêcher de se mêler aux fans français, selon des journalistes de Radio France et de l’AFP présents sur place.
    Sur des vidéos diffusées sur le réseau so­cial X, on peut voir des spectateurs courir dans les travées, certains avec des dra­peaux israéliens, alors que d’autres sup­porters sifflent et huent.
    Interrogée par l’AFP, la préfecture de police n’a pas souhaité communiquer d’éléments sur ce court mouvement de foule, dans l’attente de précisions sur les circontances, “encore floues”. L’hymne israélien a par ailleurs été sifflé au début du match, alors que des supporters israéliens ont agité des ballons jaunes et appelé à libération des otages détenus dans la bande de Gaza, selon un journaliste de franceinfo. Un dis­positif sécuritaire exceptionnel a été mis en place pour encadrer cette rencontre de Ligue des nations, où moins de 20 000 spectateurs étaient présents.
    Elle se déroulait dans un climat tendu après les violences de la semaine dernière en marge d’un match du Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam.
    4 000 policiers et gendarmes ont été dé­ployés autour et, fait rare, dans le Stade de France, ainsi que dans les transports en commun et dans Paris. Source.

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  • Astrid Panosyan-Bouvet visite le salon “Made in France”

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Lundi 11 novembre 2024, à 14 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/6.30, ISO 6400. Flash: non

    1/8. French Minister of Labor and Employment Astrid Panosyan-Bouvet (C) attends the  »Made in France » (MIF Expo) fair at Parc des Expositions in Paris, France, on No­vember 11, 2024.

    La ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, s’est rendue le 11 novembre 2024 au 12e Salon du “Made in France”, porte de Versailles à Paris.
    Comme deux jours auparavant avec le ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Antoine Armand, elle a été in­terpellée par la journaliste Natacha Polony.

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  • Antoine Armand visite la 12e édition du salon “Made in France”

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 9 novembre 2024, à 11 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 35 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/640e de s, ƒ/5.60, ISO 8000. Flash: non

    1/8. France’s Minister for the Economy, Finance and Industry Antoine Armand speaks to personnel at the « Benoit Badin » condiments stand as he attends the « Made in Fran­ce » (MIF Expo) fair at Parc des Expositions in Paris on November 9, 2024.

    Après une semaine ponctuée par deux plans sociaux d’ampleur annoncés par Michelin et Auchan, le ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Antoine Armand, s’est rendu au salon « Made in France » le 9 novembre 2024, porte de Ver­sailles, à Paris. Il a notamment été interpellé sur la fermeture de deux usines Michelin à Vannes et Cholet, où plusieurs centaines de salariés manifestaient depuis la veille.

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  • Des membres du Gouvernement inaugurent la 12e édition du salon “Made in France”

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Vendredi 8 novembre 2024, à 9 h 53. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 57 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/160e de s, ƒ/3.20, ISO 2500. Flash: non

    1/8. French Delegate Minister for Rural Affairs, Trade and Crafts Francoise Gatel (white jacket), French Delegate Minister for Social and Solidarity Economy, Profit-Sharing and Incentive Schemes Marie-Agnes Poussier-Winsback (orange jacket) and Secre­tary of State for Consumerism Laurence Garnier (blue jacket) open the 12th edition of the « Made In France » fair (MIF) on November 8, 2024 in Paris.

    Un maître-mot : “réindustrialisation”. C’est ce thème ambitieux qu’affiche le salon du “Made in France” MIF Expo, dont la 12e é­dition a commencé à Paris ce vendredi 8 novembre 2024. Pas moins de 100.000 vi­siteurs sont attendus jusqu’à lundi au Parc des Expositions avec comme objectif de mettre en avant le savoir-faire français. Les curieux pourront ainsi visiter plus d’un millier de stands, ainsi qu’un “village de l’artisanat” avec plus de 200 exposants.
    Et de fait, le salon est aussi devenu, au fil des années, un rendez-vous politique. Plu­sieurs membres du gouvernement étaient ainsi présents à la porte de Versailles pour l’ouverture vendredi 8 novembre à 10 h, dont la secrétaire d’État à la Consomma­tion Laurence Garnier, la ministre déléguée chargée de l’Économie sociale et solidaire, de l’Intéressement et de la Participation Marie-Agnès Poussier-Winsback ou encore la ministre déléguée chargée de la Rurali­té, du Commerce et de l’Artisanat Fran­çoise Gatel.
    Vendredi après-midi ont aussi déambulé dans les allées du salon l’ancien ministre de l’Économie Arnaud Montebourg, la dé­putée du groupe La France insoumise Ma­thilde Panot ainsi que la députée europé­enne Marion Maréchal. Source

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