Catégorie : Politique

  • Emmanuel Macron reçoit les différents partis politiques hormis LFI et le RN

    © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 10 décembre 2024, à 17 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/5, ISO 12800. Flash: non

    First secretary of the French Socialist Party (PS) Olivier Faure, President of Socialistes et Apparentes parliamentary group Boris Vallaud (L) and President of the Socialist group in the Senate Patrick Kanner (R) arrive to speaks with journalists as they leave the Elysee palace following a meeting with the French president, in Paris, on December 10, 2024. French party leaders will gather at President’s Elysee Palace office on December 10, 2024 in a bid to chart a route towards a new government, days after Prime Minister Michel Barnier was toppled in a confidence vote.

    Après avoir consulté séparément les diffé­rentes forces politiques, le président de la République a décidé de convier autour de la même table, le mardi 10 décembre 2024 après-midi, l’ensemble des chefs de parti et de groupe parlementaire.
    Les ténors des formations politiques repré­sentées au Parlement étaient invités, pour la première fois, tous ensemble à l’Elysée. Une configuration rappelant les rencontres de Saint-Denis, lancées par Emmanuel Ma­cron en 2023. A ceci près que « l’extrême droite et l’extrême gauche » qui, selon le chef de l’Etat, « se sont unies dans un front antirépublicain » en votant la censure le 4 décembre, ne sont, cette fois, pas conviées. Leurs représentants « ne se sont pas inscrits dans une logique de compro­mis », a justifié un proche du président de la République.

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  • Les taxis en grève devant l’Assemblée nationale

    1/6. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 3 décembre 2024, à 14 h 00. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF135mm f/2L USM ; focale: 135 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/400e de s, ƒ/3.20, ISO 100. Flash: non

    1/6. Taxi drivers gather at the Invalides during a protest against lower mileage rates for medical patient transport, in Paris on December 3, 2024.

    Environ 500 taxis ont manifesté mardi 3 décembre 2024 près de l’Assemblée nationale, pour protester contre une tarification à la baisse du transport de malades.
    Afin de réaliser 300 millions d’euros d’économies sur ces transports sanitaires, le gouvernement Barnier, menacé de censure, souhaite contraindre taxis et transporteurs sanitaires à négocier des mesures avec l’Assurance maladie, sous peine de baisses tarifaires imposées.
    Entre pétards et feux d’artifice, les taxis, qui demandaient à être reçus par les parlementaires ou le ministère de la Santé, protestaient sur l’esplanade des Invalides contre cette négociation avec l’Assurance maladie mais aussi contre des plateformes en ligne comme Uber Health qui pourraient arriver dans le secteur, « cassant le taximètre pour déstructurer notre modèle économique et social »

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  • Rassemblements de retraités pour une revalorisation des pensions

    1/5. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mardi 3 décembre 2024, à 13 h 44. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/8, ISO 800. Flash: non

    1/5. Retirees take part in a rally to call for pensions to be raised with inflation in Paris, near the Prime Minister’s office on December 3, 2024.

    Une intersyndicale de retraités a organisé mardi 3 décembre 2024 des rassemblements dans toute la France pour demander une revalorisation des retraites au 1er janvier du montant de l’inflation, sans recourir au dispositif partiel et en deux temps proposé par le gouvernement Barnier dans son budget de la Sécu 2025, désormais en sursis.
    À Paris, de 200 à 300 retraités se sont retrouvés à deux pas de Matignon, où une délégation de manifestants a été reçue pendant une heure par le cabinet du Premier ministre, a constaté un journaliste de l’AFP.
    Dans la dernière version du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, approuvée en commission mixte paritaire, les retraites ne seraient pas augmentées en une seule fois au 1er janvier du montant de l’inflation l’an dernier – 1,6% selon le gouvernement – comme c’est en principe le cas chaque année.
    Elles seraient augmentées de 0,8% le 1er janvier, puis à nouveau, mais seulement pour les retraites inférieures à 1.500 euros, de 0,8% le 1er juillet.
    Le gouvernement justifie le décalage de la revalorisation des retraites par la nécessité de financer la Sécurité sociale, mais les retraités « ne sont pas responsables des choix politiques et budgétaires » ayant mené aux déficits actuels, a dénoncé Cathy Cau, secrétaire générale de l’Union confédérale des retraités CGT.

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  • Marina Ferrari visite les grands magasins du Boulevard Haussmann

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 28 novembre 2024, à 10 h 56. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/6.30, ISO 5000. Flash: non

    1/8. French Delegate Minister of Tourism Economy Marina Ferrari (C) visits the Galeries Lafayette Paris Haussmann department store, as it celebrates it’s 130th Christmas, in central Paris, on November 28, 2024.

    Marina Ferrari, la ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargée de l’Économie du tourisme, a rendu viste aux deux grands magasins des Galeries Lafayette et du Printemps, boulevard Haussmann, à Paris, le 28 novembre 2024. Elle a été accom­pagnée durant sa visite par Philippe Houzé, Président du Directoire du groupe Galeries Lafayette, groupe qui fêtait son 130e anni­versiare en 2024.
    Selon les informations données quelques jours auparavant par Nicolas Houzé, le « navire amiral » des grands magasins, a connu une croissance de « 3 % » en 2023, pour un chiffre d’affaires de « 1,9 milliard d’euros ». Cela représente plus de la moi­tié du chiffre d’affaires total du groupe, es­timé à « 3,65 milliards d’euros ».
    La croissance observée en 2023 tranche avec les résultats des années précédentes. Directement affecté par le mouvement des Gilets Jaunes, en 2018 et en 2019, puis frappé par la pandémie du Covid-19, en 2020 et 2021, le magasin parisien accueil­lait moins de touristes. C’était notamment le cas des visiteurs chinois, qui représen­taient « un tiers des clients », avant la cri­se sanitaire, explique le PDG des Galeries Lafayette. « La clientèle asiatique est reve­nue », a-t-il assuré à l’hebdomadaire.
    Pour attirer les consommateurs, d’impor­tants travaux ont été entrepris. La coupole « Art Déco », conçue en 1912, a été réno­vée.
    Il s’agit d’un des investissements majeurs du groupe, qui a injecté 100 millions d’eu­ros pour l’espace parisien, soit un quart des « 400 millions d’euros en cinq ans », a expliqué Nicolas Houzé. Source

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  • Des manifestants de la FNSEA érigent un mur devant l’Inrae

    1/3. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 28 novembre 2024, à 8 h 24. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/250e de s, ƒ/4, ISO 3200. Flash: non

    1/3. French farmers construct a symbolic wall in front of the French National Institute for Agricultural Research (INRAE) head office to represent the obstacles hindering agricultural production during a protest against government regulations, administrative burdens and the possible Mercosur agreement in Paris, France on November 28, 2024.

    Plus d’une centaine d’agriculteurs franci­liens se sont réunis jeudi 28 novembre 2024 à l’aube devant le siège de l’Inrae, l’Institut national de la recherche pour l’a­griculture, l’alimentation et l’environne­ment, dans le 7e arrondissement de Paris, dans une action symbolique à l’appel des Jeunes Agriculteurs et de la FDSEA. Ils ont construit un mur de parpaing d’environ deux mètres de haut pour dénoncer l’inuti­lité de cet institut et demandent sa ferme­ture. « Aujourd’hui, l’Inrae c’est un budget d’un milliard d’euros par an, c’est censé être un partenaire du monde agricole, mais ça fait 50 ans qu’il n’en sort rien du tout », dénoncait Victor Rabier, secrétaire général des Jeunes agriculteurs en Île-de-France et agriculteur à Pussay, dans l’Essonne. « On n’en a pas besoin », a-t-il estimé.
    Dans une déclaration à l’AFP, la ministre de l’Agriculture Annie Genevard a condamné, « avec la plus grande fermeté toute attein­te aux personnes et aux biens » après cette mobilisation. Source

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  • Michel Barnier tente d’apaiser la colère des maires

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 21 novembre 2024, à 16 h 08. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 98 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/500e de s, ƒ/4, ISO 2500. Flash: non

    1/8. French Prime Minister Michel Barnier delivers a speech during the 106th Mayors Congress (Congres des Maires) organised by the « France’s Mayors’ Association » (AMF) in Paris, on November 21, 2024.

    Le premier ministre s’est livré à un exerci­ce d’équilibriste, jeudi 21 novembre 2024, devant le congrès de l’Association des mai­res de France (AMF). Venu clore son 106e congrès, qui s’est tenu du 19 au 21 novembre à Paris, Michel Barnier a adressé un message de confiance aux élus locaux, tout en tâchant de conju­rer la précarité de sa position politique. En effet, alors que le Nouveau Front populaire comme le Ras­semblement national se montrent de plus en plus menaçants en évoquant la pers­pective d’une censure, le chef du gouver­nement a reconnu d’emblée : « Je ne sais pas le temps que j’ai devant moi. Ça dé­pend d’une éventuelle coalition des con­traires, si je puis dire, à l’Assemblée na­tionale. Je ne sais pas si cela se produira. J’y suis prêt. » Même si, a estimé M. Bar­nier, « je sais que ce n’est pas ce que souhaitent les Français, qui souhaitent au­jourd’hui de la stabilité, de la sérénité ».
    Le chef du gouvernement « marche sur des œufs », a fait remarquer le président de l’AMF et maire (Les Républicains, LR), David Lisnard, à l’issue du discours.
    De fait, alors même qu’il était attendu de pied ferme par des élus très en colère con­tre le prélèvement sur leurs recettes de 5 milliards d’euros que M. Barnier prévoit en 2025, celui-ci n’a évoqué la question qu’avec une grande prudence. Source.

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  • Des ministres interviennent au 106e Congrès des Maires de France

    1/11. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Mercredi 20 novembre 2024, à 10 h 26. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF70-200mm f/2.8L IS II USM +1.4x III ; focale: 115 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/1600e de s, ƒ/4, ISO 8000. Flash: non

    1/11. French Delegate Minister for Rural Affairs, Trade and Crafts Francoise Gatel (L) participates in the 106th session of the Congress of Mayors organised by the « France’s Mayors’ Association » (AMF) at the Parc des Expositions de la Porte de Versailles in Paris, on November 20, 2024.

    De nombreux ministres se sont déplacés pour intervenir durant les débats organisés lors du 106e Congrès des maires et des présidents d’intercommunalité de France, organisé par l’Association des Maires de France au  Parc des Expositions de la Porte de Versailles, à Paris, du 19 au 21 no­vembre 2024.
    Dans un contexte de protestations contre les économies prévues par le gouverne­ment pour les collectivités territoriales é­taient notamment présents Valérie Létard, Ministre du Logement et de la Rénovation urbaine, Othman Nasrou, Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur, chargé de la Citoyenneté et de la Lutte contre les dis­criminations, Anne Genetet, ministre de l’Éducation nationale, Françoise Gatel, mi­nistre déléguée auprès de la ministre du Partenariat avec les territoires et de la Dé­centralisation, chargée de la Ruralité, du Com­merce et de l’Artisanat, Geneviève Darrieussecq, Ministre de la Santé et de l’Accès aux soins.

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  • Un convoi d’agriculteurs en colère ralentit la N118 près de la base de Villacoublay

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Dimanche 17 novembre 2024, à 18 h 39. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 38 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/125e de s, ƒ/2.80, ISO 2500. Flash: non

    1/8. French farmers drive their tractors on the RN118 road at the start of a nationwide protest against EU-Mercosur agreement with farmers feeling they have yet to reap the rewards of last winter’s mobilisation near Velizy-Villacoublay, southwestern Paris on November 17, 2024. Farmers complain about excessive bureaucracy and low in­comes, but they’re also fed up with poor harvests, losses from emerging animal di­seases and the prospect of signing a free-trade agreement with the Latin American countries of Mercosur (Brazil, Argentina, Paraguay and Uruguay) that would create the world’s largest free trade zone.

    Macron, si tu vas à Rio, n’oublie pas tes péquenots : à bord d’une vingtaine de tracteurs et d’une trentaine d’autres véhi­cules, les manifestants ont bloqué deux des trois voies de circulation sur la natio­nale 118, qui longe la base militaire des Yvelines le dimanche 17 novembre 2024 en soirée. C’est de là que le président Emmanuel Macron s’est envolé samedi pour l’Argentine, avant de se rendre au sommet du G20 prévu lundi et mardi au Brésil.
    La mobilisation générale des agriculteurs français doit commencer ce lundi, mais des actions ont déjà eu lieu dimanche soir, no­tamment dans les Yvelines et en Mayenne. Les agriculteurs protestent contre la pers­pective d’un accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, le mar­ché unique sud-américain. Ils redoutent d’être exposés à la concurrence de pro­duits agricoles importés moins chers et qui ne sont pas soumis aux mêmes normes que les produits nationaux.

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  • France-Israël : un bref incident a eu lieu dans les tribunes du Stade de France

    1/7. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 14 novembre 2024, à 19 h 46. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 20 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/160e de s, ƒ/4, ISO 8000. Flash: non

    Le match de football France-Israël a été marqué, jeudi 14 novembre 2024 au Stade de France à Saint-Denis, par des brefs incidents en tribunes.
    Un mouvement de foule a été remarqué à l’endroit où étaient rassemblés les sup­porters israéliens, et les stadiers sont in­tervenus pour les empêcher de se mêler aux fans français, selon des journalistes de Radio France et de l’AFP présents sur place.
    Sur des vidéos diffusées sur le réseau so­cial X, on peut voir des spectateurs courir dans les travées, certains avec des dra­peaux israéliens, alors que d’autres sup­porters sifflent et huent.
    Interrogée par l’AFP, la préfecture de police n’a pas souhaité communiquer d’éléments sur ce court mouvement de foule, dans l’attente de précisions sur les circontances, “encore floues”. L’hymne israélien a par ailleurs été sifflé au début du match, alors que des supporters israéliens ont agité des ballons jaunes et appelé à libération des otages détenus dans la bande de Gaza, selon un journaliste de franceinfo. Un dis­positif sécuritaire exceptionnel a été mis en place pour encadrer cette rencontre de Ligue des nations, où moins de 20 000 spectateurs étaient présents.
    Elle se déroulait dans un climat tendu après les violences de la semaine dernière en marge d’un match du Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam.
    4 000 policiers et gendarmes ont été dé­ployés autour et, fait rare, dans le Stade de France, ainsi que dans les transports en commun et dans Paris. Source.

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  • Astrid Panosyan-Bouvet visite le salon “Made in France”

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Lundi 11 novembre 2024, à 14 h 51. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 19 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/6.30, ISO 6400. Flash: non

    1/8. French Minister of Labor and Employment Astrid Panosyan-Bouvet (C) attends the  »Made in France » (MIF Expo) fair at Parc des Expositions in Paris, France, on No­vember 11, 2024.

    La ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, s’est rendue le 11 novembre 2024 au 12e Salon du “Made in France”, porte de Versailles à Paris.
    Comme deux jours auparavant avec le ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Antoine Armand, elle a été in­terpellée par la journaliste Natacha Polony.

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