Catégorie : Religion

  • Notre-Dame de Paris : plusieurs milliers de personnes ont suivi la cérémonie depuis les quais

    1/6. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 7 décembre 2024, à 16 h 32. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/320e de s, ƒ/8, ISO 10000. Flash: non

    1/6. The French population and many foreigners gather inside a security perimeter around the Notre-Dame de Paris cathedral, ahead of its official reopening ceremony after more than five-years of reconstruction work following the April 2019 fire, in Paris on December 7, 2024. Notre-Dame Cathedral is set to re-open early December 2024, with a weekend of ceremonies on December 7 and 8, 2024, five years after the 2019 fire which ravaged the world heritage landmark and toppled its spire. Some 250 companies and hundreds of experts were mobilised for the five-year restoration costing hundreds of millions of euros.

    Comme lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, en juillet dernier, les organisateurs ont dû composer avec des conditions météo catastrophiques en ce 7 décembre 2024. La pluie et les bourrasques froides ont entraîné l’annulation de tous les évènements qui devaient se tenir à l’extérieur, y compris le concert, qui a dû être enregistré la veille.
    Qu’à cela ne tienne, des milliers de spectateurs, en grande majorité des Parisiens, se sont massés sur les quais de la Seine pour admirer la cérémonie sur cinq écrans géants, à l’endroit même où nombre d’entre eux avaient vu la cathédrale brûler en 2019.
    En raison des vents violents, l’intégralité de la cérémonie s’est finalement déroulée à l’intérieur de Notre-Dame de Paris. Décision prise la veille et annoncée par l’Élysée et le diocèse de Paris. Plusieurs étapes des célébrations étaient prévues sur le parvis de l’édifice, dont le discours d’Emmanuel Macron, le film retraçant la reconstruction de la cathédrale ou encore un grand concert.

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  • Notre-Dame : des milliers de Parisiens ont raccompagné la « Vierge du Pilier »

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Vendredi 15 novembre 2024, à 17 h 17. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF16-35mm f/4L IS USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/160e de s, ƒ/4, ISO 1600. Flash: non

    Après cinq ans d’exil, la statue de la Vierge à l’enfant a retrouvé sa place dans le chœur de Notre-Dame de Paris ce vendredi 15 novembre 2024. Une procession qui a rassemblé des milliers de fidèles dans les rues de la capitale, marquant une étape clé avant la réouverture triomphale de la cathédrale les 7 et 8 décembre.
    Retrouvée intacte après l’incendie, la Vier­ge à l’Enfant, souvent aussi appelée “Vier­ge du pilier”, avait été déplacée à l’église Saint-Germain l’Auxerrois qui a pendant cinq ans accueilli la liturgie de la cathé­drale. Rendez-vous était donné aux fidèles et aux Parisiens à 18 heures sur le parvis de cette église située près du Louvre, dans le centre de Paris. La procession aux flam­beaux s’est rendue jusqu’à la cathédrale Notre-Dame en empruntant les quais de l’île de la Cité. À 19 heures, la statue était bénie par l’ar­chevêque de Paris avant une veillée de louanges et de prières qui mêlait Magnifi­cat, temps de prière et lecture de l’Évangi­le. Cette procession marque le « dernier grand événement avant la réou­verture de la cathédrale les 7 et 8 dé­cembre pro­chains », a souligné le diocèse. Avec ce re­tour, la célèbre statue retrouvera sa place près du pilier devant lequel l’écrivain Paul Claudel s’est converti, le jour de Noël 1886.
    La sculpture représente Marie tenant l’en­fant Jésus. Celle utilisée sur le trajet était toutefois une réplique : « il n’est pas possi­ble – pour préserver l’œuvre, par ailleurs fragilisée par les siècles – de faire la pro­cession avec cette statue, mais nous assis­terons à son départ en camion, pour nous élancer ensuite vers le parvis de Notre-Dame », a expliqué Stéphane-Paul Bentz, chapelain de Notre-Dame.
    « Sur le parvis, nous serons accueillis par la maîtrise Notre-Dame et par la statue o­riginale, que nous pourrons apercevoir car les portes du camion et de sa caisse auront été préalablement ouvertes », puis le ca­mion franchira les palissades du parvis, a-t-il ajouté.
    En amont de cette cérémonie a été organi­sée une « neuvaine » depuis le 7 novem­bre, la réplique de la statue circulant dans plusieurs paroisses, sanctuaires et hôpi­taux de la capitale.
    Cette sculpture qui date du milieu du XIVe siècle provient de la chapelle Saint-Aignan, située dans l’ancien cloître des chanoines, sur l’île de la Cité. En 1818, elle a été transférée à Notre-Dame, et en 1855 c’est l’architecte Eugène Viollet-le-Duc qui a décidé de la déplacer pour l’adosser au pilier sud-est du transept de la cathédrale. Source.

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  • Larcher et Goasguen défilent contre le “mariage pour tous”

    1/8. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 17 novembre 2012, à 16 h 14. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: Canon EF 16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/512e de s, ƒ/2.8, ISO 250. Flash: non

    Gérard Larcher, ancien président UMP du Sénat, et Claude Goasguen, maire UMP du 16e arrondissement de Paris ont défilé en tête du cortè­ge de manifestants qui s’étaient mobilisés à Paris le 17 novembre 2012 contre le projet de loi autorisant le « mariage pour tous ».

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  • Des milliers de personnes manifestent à Paris contre le « mariage pour tous »

    © Michel Stoupak. Prise de vue: Samedi 17 novembre 2012, à 16 h 04. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: Canon EF 16-35mm f/2.8L II USM ; focale: 16 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/512 sec, f/2.8, ISO 320, -1/3. Flash: non

    À l’appel d’un collectif baptisé « La manif pour tous », des dizaines de milliers d’opposants au mariage homosexuel ont manifesté samedi 17 novembre 2012 dans dix villes de France pour dénoncer le projet de loi présenté en conseil des ministres début novembre.
    À Paris, les manifestants vêtus en « bleu, blanc, rose » ont défilé de la place Denfert-Rochereau jusqu’aux Invalides en se réclamant d’un mouvement apolitique, « transreligieux », mais aussi « contre l’homophobie ».
    Avec pour slogan « Tous nés d’un homme et d’une femme », les organisateurs ont revendiqué 200.000 manifestants dans la capitale. Ils étaient 70.000 selon la police.

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