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  • Réforme des retraites : les syndicats prêts à « mettre la France à l’arrêt »

    © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Samedi 11 février 2023, à 11 h 41. Appareil: Canon EOS-1D X. Objectif: EF 24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 24 mm. Exposition: Auto, priorité à l’ouverture, 1/500e de s, ƒ/2.8, ISO 1200. Flash: non

    French Force Ouvriere (FO) union general secretary Frederic Souillot (C) reads a press re­lease renewing the strike movements, during a labour unions meeting (intersyndicale) on the fourth day of nationwide rallies organised since the start of the year, against a deeply unpopular pensions overhaul, in Paris, on February 11, 2023. Frederic Souillot is surrounded by by French CGT trade union General Secretary Philippe Martinez (2L), French union Union syndicale Solidaires (SUD) co-general delegates Murielle Guilbert (1L) and Simon Duteil (4L), French Force Ouvriere (FO) union general secretary Frederic Souillot (4R), French Democratic Confederation of Labour (CFDT) union’s general secretary Laurent Berger (5R), Confederal President of the CFE-CGC Francois Hommeril (3R) and French Confederation of Christian Workers (CFTC) union president Cyril Chabanier (2R), France National Union of Autonomous Trade Unions (Union nationale des Syndicats Autonomes – Unsa) Laurent Escure.

    À l’aune d’une nouvelle journée de mobilisation partout en France, l’intersyndicale appelle à « mettre la France à l’arrêt » le 7 mars prochain, à l’occasion d’une conférence de presse orga­ni­sée avant le départ du cortège parisien ce same­di 11 février 2023.
    Le numéro un de la CFDT, Laurent Berger, a de nouveau pointé du doigt une « forme de folie dé­mocratique du gouvernement à ignorer ce qui se passe », tandis que son homologue de la CGT Philippe Martinez a souligné que « la balle (était) dans le camp » de l’exécutif.
    Dans leur communiqué commun, la CGT, la CFDT, Force Ouvrière, FSU ou encore l’UNEF, évoquent un « mouvement social inédit par son ampleur et donc désormais ancré dans le paysage social ». « Le gouvernement, comme les parlementaires, ne peuvent y rester sourds », poursuivent-ils.
    « Si malgré tout le gouvernement et les parle­men­taires restaient sourds à la contestation po­pulaire, l’intersyndicale appellerait les travailleurs et les travailleuses, les jeunes et les retraité.e.s à dur-cir le mouvement en mettant la France à l’ar­rêt dans tous les sec-teurs le 7 mars prochain », écrivent-ils.
    Des propos relayés par les représentants syn­di­caux devant la presse, dont Frédéric Souillot, secrétaire général de Force ou-vrière, en fin de matinée. Source.

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  • Grève : les médecins réclament la hausse du prix de la consultation

    1/9. © Photo Michel STOUPAK. Prise de vue: Jeudi 1er décembre 2022, à 14 h 48. Appareil: Canon EOS 5D Mark III. Objectif: EF24-70mm f/2.8L II USM ; focale: 55 mm. Exposition: Auto, priorité à la vitesse, 1/200e de s, ƒ/6.30, ISO 100. Flash: non

    1/9. Demonstrators attend a rally organised in front of the Ministry of Health building by the group « Medecins Pour Demain » (Doctors for Tomorrow) and the CSMF (Confederation of French Doctors’ Unions) as private practitioners ask for a rise in consultation prices in Paris on December 1, 2022. Thousands of private doctors and biologists across the country close their cabinets on December 1 and 2, 2022, notably to ask for higher prices of consultations.

    Des milliers de médecins et de biologistes libéraux ont fermé leurs cabinets et leurs laboratoires jeudi 1er et vendredi 2 décembre 2022, les uns pour protester contre le manque de reconnaissan-ce et réclamer des hausses de tarifs, les autres pour s’élever con-tre la ponction portée, par le biais du budget de la « Sécu », à leurs bénéfices. Tous les syndicats de médecins libéraux, en pleine né-gociation conventionnelle avec l’Assurance-maladie, soutiennent le mouvement, avec des nuances dans leur positionnement ; une première depuis 2015. Avec, pour revendication principale, le dou-blement du montant de la consultation – de 25 euros à 50 euros –, le jeune collectif Médecins pour demain, fort de 15 000 mem-bres sur Facebook, a donné l’impulsion. Jeudi soir, on évoquait dans ses rangs plus de 10 000 cabinets fermés – pour 110 000 praticiens libéraux. À Paris, ils se sont donné rendez-vous devant le ministère de la Santé.

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